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Motif

Comment mieux parler du cinéma qu'en en faisant une occasion d'étoilement, cet événement singulier, étrange et déroutant où nous voici couverts d'étoiles et fêlés ensemble, brisés par les astres cinématographiques qui nous viennent et par eux émus au point d'avoir à l'écrire ?
Quel exigence impossible que d'avoir à viser à notre tour les lieux les plus inaccessibles, pour dire ce que le cinéma, par le truchement de telle œuvre, à ouvert au plus intime de nous mêmes ? Et si justement le cinéma avait pour vocation de tracer, pour nos yeux, pour notre bouche, un chemin vers l'inaccessible ?

étoilements est une revue où poésie et cinéma se croisent,
se toisent, s'appellent et se répondent. Plusieurs plumes et sensibilités
se prêtent diversement à cette petite tâche en forme d'étoile. La parution
est trimestrielle.

Numéros

n°11 / juin 2010 : nullité
n°10 / mars 2010 : la joie
n°9 / décembre 2009 : peaux
n°8 / septembre 2009 : la voix + hors série
n°7 / juin 2009 : la fracture
n°6 / mars 2009 : l'insistance
n°5 / décembre 2008 : le retard + hors série
n°4 / septembre 2008 : la promenade
n°3 / juin 2008 : l'adresse
n°2 / mars 2008 : le devenir
n°1 / décembre 2007 : bords, bordures
n°0 / septembre 2007 : libre

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La revue est noire de contributions

dont, au hasard, parmi 99 interventions :

Paradoxes de la surface une et unique : le désarroi, le sublime par Paul-Emmanuel Odin / Philippe Duciel / Variations d'un infini turbulent (sur Limite de Mario Peixoto, Brésil 1930) par Gabriela Trujillo / Nul le part out par Elizabeth Pacheco Medeiros / Avide par Nathalie EstBrochier / Visa de censure, de Pierre Clémenti. Le cinéma comme mise en scène libératrice de soi-même par Gabrielle Reiner / Le bout d'un sentier... ou ma nullité à moi par Roman Dominguez / Zorn Lemma, matrice des langages et défis à la mémoire par Raphaël Bassan / Le voile de Mabuse (première partie) par Fabrice Lauterjung / La fenêtre du coopérateur. De la méditation naît le sublime (ou quelques "couplets" sur le film Still d'Ernie Gerh) par Raphaël Bassan / Le cinéma d'art est défait ? par Orlan Roy / Dans une langue étrangère. Un lac de Philippe Grandrieux par Rodolphe Olcèse / éfrit par Nathalie EstBrochier / Eloge à l'utilisation d'une unique caméra par Fabrice Lauterjung / Too late blues par Graeme Thomson / Silvia Maglioni / Charme et intuition par Dominik Lange / Anamorphosis of a voice par Graeme Thomson / Du voyage raté : Uyuni (Andrés Denegri, Argentine 2005) par Gabriela Trujillo / Ebolusyon ng Isang Pamilyang Pilipino de Lav Diaz par Silvia Maglioni / French graffitis, une fulgurance rimbaldienne : Etienne O'Leary par Raphaël Bassan / Les rubans photographiques de Christian Lebrat par Daphné Le Sergent / Forest of bliss de Robert Gardner par Violeta Salvatierra / Contact digital par Didier Kiner / Landes. Notes sur des films au bord par Orlan Roy / Adresses par Violeta Salvatierra / La limite visible de l'autre, Joana Hadjithomas et Khalil Joreige par Daphné Le Sergent /

[ETOILEMENTS - AUTEURS]

Gloria Morano

Gloria Morano est doctorante à l’Université de Paris I Pantheon – Sorbonne, sa recherche porte sur la représentation du corps féminin dans le cinéma d’avant-garde contemporain. Elle s’est longtemps intéressée à l’œuvre du cinéaste américain Stephen Dwoskin et a dirigé la publication en DVD de son long-métrage Dyn Amo auprès des éditions vidéo Re:Voir. Elle collabore avec plusieurs festivals italiens de cinéma et réalise des traductions et de sous-titrages.

Textes publiés :

- Hymen, de Carole Arcega (supplément au n°5 d'étoilements / 10e anniversaire du festival des cinémas différents de Paris).

52 auteurs